-Un film, un concept de bonheur-
Hypnotisée complètement par Shangri-La,- le lieu imaginaire au Tibet dans lequel l'on voit de merveilleux paysages au cœur des montagnes et où le temps était détendu dans une atmosphère zen -, j’ai assisté plusieurs fois dans mon adolescence au classique du cinéma «Horizon perdu » .Le film, de réalisateur Frank Capra, fût inspiré par le roman homonyme de l’écrivain britannique, James Hilton.
Shangri-La est une ville préservée de tout conflit, une véritable utopie. Le film mélange aventure, surnaturel et fable morale. Tout comme en 1937, l'année de sa réalisation, ce film peut être considéré par beaucoup de gens comme étant déconnecté de la réalité. Mais le message sur la nécessité de préserver la paix dans le monde est considéré prémonitoire dans le contexte de l'époque précédant la 2eme Grande Guerre et on peut en dire autant de nos jours.
Ce film culte fût nominé à 9 Oscars et narre l'histoire de rescapés d'un accident d'avion qui réussissent à atteindre Shangri-La, une lamaserie de perpétuelle jeunesse.
Shangri-La est désormais synonyme de lieu edénique, imaginaire idyllique ou paradis caché. Fondé sur la cité mystique de Shambhala (en sanskrit « lieu du bonheur paisible »), le concept de Shangri-La a été popularisé par le roman, mais surtout par le film de Capra.
Et j’ai assisté plusieurs fois aussi le remake de 1973…
Et déjà une version pour mes neveux…
« J'ai rêvé de mille nouveaux chemins...
Je me suis réveillé et j'ai repris le mien ».
Je me suis réveillé et j'ai repris le mien ».
(Proverbe chinois)
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