D’un explorateur du " Kangchenjunga ", un sommet de l'Himalaya, sur la frontière indo-népalaise, à l'est du Népal. C'est le troisième plus haut sommet sur Terre, après l'Everest et le K2, et le point culminant de l'Inde.
Léo Fonseca, mon neveu, à la "Pedra da Gávea", Rio de Janeiro |
« J’ai monté la montagne plus haute de ma terre, et j’ai pu voir le monde entier qui l’entourait. Le temps de ma présence au sommet, j’ai pu voir plus que ce que je peux dire, et comprendre plus que je suis capable d’exprimer ».
“Si, entretemps, je devais définir mieux la sensation de ces moments au sommet du kanchenjunga, je dirais: regardant de là-bas, toutes les choses – rivières, arbres, neige, herbe – semblaient une seule chose, et mon cœur s’est rempli du bonheur, parce que je faisais partie de tout ça. Quand j’ai compris cela, même tout seul au sommet d’une montagne, j’ai compris que j’étais près de toutes les choses de la terre ».
(Racontée en portugais par Paulo Coelho:" A reflexão VI", traduction libre par Sylvia da Fonseca et Claude Dessy)
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